Alors que le monde s’apprête à célébrer Halloween, notre éditorial médite sur le paradoxe de la vie et la mort comme fardeau que porte l’humanité. Percevoir la mort comme le paradoxe de la vie nous permet d’évaluer et de questionner ce que signifie pour l’espèce humaine d’exister. Dans le but d’alléger la souffrance humaine, The Bridge Magazine analyse ce qui fait peur aux gens d’être mortels et ce qui empêche l’humain de profiter pleinement de sa vie et/ou de se concentrer sur sa valeur en tant qu’être humain pendant son parcours de vie.
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Cette saison chez The Bridge Magazine. Alors que le monde s’apprête à célébrer Halloween, notre éditorial médite sur le paradoxe de la vie et la mort comme fardeau que porte l’humanité.
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En tant qu’humains, nous ne choisissons pas de naître, pourtant nous sommes certains de mourir et certains que la mort est irréversible : d’où notre frustration, notre désespoir et notre désarroi.
L’humanité n’a pas tardé à revendiquer sa super puissance, son intelligence et à expliquer comment la percée de l’évolution humaine nous a classés au sommet de la chaîne du succès par rapport aux animaux et aux autres êtres.
En même temps, nous, « homo sapiens », nous sentons déchus, ridicules et humiliés : tels des albatros aux ailles de géants qui nous empêchent de voler, de ne pouvoir choisir notre naissance ou empêcher notre mort.
Nos facultés intellectuelles extrêmes semblent simultanément nous informer que nous sommes à la fois éternels quand nous sommes vivants et que nous ne le sommes pas du tout puisque la mort est irréversible.
L’énigme existentielle et non-existentielle de l’humain crée chez l’Homme un vide profond et par ricochet, un sentiment d’être déboussolé et d’angoisse aiguë.
En tant qu’humains, nous ne choisissons pas de naître, pourtant nous sommes certains de mourir et certains que la mort est irréversible : d’où notre frustration, notre désespoir et notre désarroi.
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Incapables de trouver des réponses concernant le mystère de la vie et de la mort, cela a poussé certains à adhérer à quelque chose auquel ils peuvent s’accrocher et donner un sens à leur vie avec l’espoir qu’après leur deuil, leur âme pourrait être rachetée dans l’au-delà en fonction de leurs bonnes ou mauvaises actions.
C’est ainsi que naissent les religions, les cultes, les sectes et croyances. Certains croient en Dieu, aux crânes de leurs Ancêtres, à leur Lignée de Sang, à l’Univers Bénévole, à Allah, à Bouddha, à Jéhovah… Et d’autres croient à la richesse, à l’argent, aux sorciers, à la science, au vaudou, aux pierres, aux cristaux, aux cartes de tarot, aux esprits, à la sorcellerie, au vent, au feu, à l’eau, à la terre, à l’astrologie, à la lecture de la paume de main … ou croient à l’anarchie ou à rien du tout.
L’humanité n’a pas tardé à revendiquer sa super puissance, son intelligence et à expliquer comment la percée de l’évolution humaine nous a classés au sommet de la chaîne du succès par rapport aux animaux et aux autres êtres.
En même temps, nous, « homo sapiens », nous sentons déchus, ridicules et humiliés : tels des albatros aux ailles de géants qui nous empêchent de voler, de ne pouvoir choisir notre naissance ou empêcher notre mort.
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Dostoïevski a dit un jour : ” Si Dieu n’existait pas, tout serait permis. “
Voulait-il vraiment dire TOUT ?
Si tel est le cas, les anarchistes ou les méchants qui prétendent qu’ils n’ont pas besoin de vivre dans la droiture et de faire de bonnes actions trouveront refuge derrière le prétexte de l’inexistence d’une divinité et se donneront le “droit” de violer, d’asservir et de tuer les autres.
Les méchants truqueront le jeu de la vie en vivant délibérément dans l’immoralité : en accumulant par exemple une fortune au prix des vies humaines afin de s’offrir des avocats et médias puissants et corrompus prêts à légitimer tous leurs crimes.
Chirurgie intra-utérine des fœtus à risque.
Un périnatologiste ou un spécialiste en chirurgie materno-fœtale effectuant une intervention chirurgicale sur un bébé à naître (fœtus) pour aider à améliorer les résultats à long terme d’un enfant présentant des malformations congénitales spécifiques.
Nos facultés intellectuelles extrêmes semblent simultanément nous informer que nous sommes à la fois éternels quand nous sommes vivants et que nous ne le sommes pas du tout puisque la mort est irréversible. L’énigme existentielle et non-existentielle de l’humain crée chez l’Homme un vide profond et par ricochet, un sentiment d’être déboussolé et d’angoisse aiguë.
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Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski (1821 – 1881) était un romancier, nouvelliste, essayiste et journaliste Russe.
Les œuvres littéraires de Dostoïevski explorent l’humaine condition dans les atmosphères troubles politico – sociales et spirituelles de la Russie du XIXe siècle, et abordent une variété de thèmes philosophiques et religieux.)
Incapables de trouver des réponses concernant le mystère de la vie et de la mort, cela a poussé certains à adhérer à quelque chose auquel ils peuvent s’accrocher et donner un sens à leur vie avec l’espoir qu’après leur deuil, leur âme pourrait être rachetée dans l’au-delà en fonction de leurs bonnes ou mauvaises actions.
C’est ainsi que naissent les religions, les cultes, les sectes et croyances.
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Dostoïevski est considéré comme un écrivain universel en raison de la dimension de son œuvre, car bien qu’étant Russe, son œuvre a également atteint la culture, la pensée et la littérature occidentales.
Dostoïevski a transformé la littérature du XIXe siècle avec ses grands romans: entre autres :
Souvenirs du sous-sol (1864)
Crime et châtiment (1866). C’est son œuvre la plus connue et la plus influente.
Le joueur (1866)
L’idiot (1868)
Le diabolisé (1872)
Le cadeau de la vie et le retrait de la vie avec la mort comme métaphore du châtiment.
Quels que soient la joie, le bonheur, la colère ou l’amertume, la vie et la mort restent des évènements ultimes qui lient inextricablement tous les humains.
La plupart des Bamilékés, également connus sous le nom de la Tribu des Grassfield dans la région de l’Ouest du Cameroun, sont culturellement uniques : ils croient équitablement et avec ferveur au christianisme tout en étant de véritables catholiques, par exemple, et en même temps de fervents croyants des crânes de leurs Ancêtres , à leur Lignée de Sang et à l’Univers Bénévole .
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Selon Le Larousse en ligne, la vie est l’existence d’un être humain, d’un végétal ou d’un animal. Alors que la mort est définie comme la cessation irréversible de la vie d’un végétal, d’un être humain ou d’un animal.
Féliciter les gens pour la naissance de leur nouveau-né ou envoyer des messages de condoléances pour la perte d’un être cher sont importants.
Les actes de gentillesse et d’amour, les mots de réconfort ou de sympathie sont des moyens de reconnaître que vous partagez leur joie ou que vous pleurez leur perte, et de montrer que vous vous souciez d’eux.
Dostoïevski a dit un jour : « Si Dieu n’existait pas, tout serait permis. “
Fiodor Mikhaïlovitch Dostoïevski (1821 – 1881) était un romancier, nouvelliste, essayiste et journaliste Russe.
Voulait-il vraiment dire TOUT ? Si tel est le cas, les anarchistes ou les méchants qui prétendent qu’ils n’ont pas besoin de vivre dans la droiture et de faire de bonnes actions trouveront refuge derrière le prétexte de l’inexistence d’une divinité et se donneront le “droit” de violer, d’asservir et de tuer les autres.
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Qu’est-ce que cela signifie pour nous, êtres humains, d’être inexistants ?
Considérant tout le mal que les humains ont infligé à leur espèce au cours des siècles, et s’infligent encore chaque instant et chaque jour, nous pouvons conclure qu’il y a plus de forces maléfiques qui gouvernent l’humanité que de forces vertueuses.
Notre éditorial est d’avis que bien qu’aucun humain ne soit parfait, certains humains sont plus méchants que d’autres et ceux qui vivent chaque jour de leur vie en cultivant le mal en eux n’existent pas, ne vivent pas mais plutôt subissent la vie.
Ceux qui commettent d’innombrables actions macabres, ou qui prennent des décisions conscientes de blesser, de nuire, de tuer ou de détruire n’existent pas en tant qu’humains, ils subissent la vie et pourraient métaphoriquement être comparés à une espèce humaine pourrie, maligne et misérable.
Leur conscience n’est jamais en paix : leur conscience leur rappelle en permanence que leur âme est corrompue, quoi qu’il advienne, même lorsqu’ils feignent de ne pas avoir mauvaise conscience en entourant leur vie de mensonges, de calomnies, de signes apparents et pompeux de richesse.
Exister en tant qu’être humain, c’est avoir un but, un ou des objectifs dans la vie.
Demandez-vous pourquoi vous existez ? Le pourquoi guide chacune de vos actions et nourrit votre passion. Il englobe votre profession, vos relations ou votre conception des choses pour tirer le meilleur parti de votre vie. Vivre une vie épanouissante signifie avoir un ou des objectifs que nous voulons atteindre au cours de notre parcours de vie. Découvrez ce qui vous passionne et comment cette passion peut avoir un impact inouï sur une ou plusieurs personnes autour de vous ou à travers le monde et devenir votre héritage, votre patrimoine.
Soyez passionné (e) dans ce que vous faites, pas parce que vous mourez d’envie d’être loué ( e ) , d’être célèbre, pas parce que vous rêvez de gloire ou de gagner de l’argent, mais surtout parce que vous ne voulez pas avoir l’impression que votre voyage ,sur terre n’a aucun sens, que votre existence sur terre est futile.
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Comme dit l’adage, « La cupidité est considérée comme la source de tous les maux »
Pour être plus explicite, tout acte répréhensible peut être attribué à un attachement excessif à la richesse matérielle.
On pense que le dicton provient des écrits de l’Apôtre Paul. Il est parfois abrégé en “L’argent est la racine de tout mal”.
Les cupides n’existent pas ; ils croient exister mais endurent et subissent plutôt la vie :
Les personnes qui ont pour Dieu la cupidité ont une jalousie maladive et une amertume répugnante du succès des autres qui distraient et corrompent leur corps et leur âme. La jalousie maladive, l’amertume du bien-être des autres, réduisent leurs chances de vivre une vie humaine pleine , saine, belle et épanouie .
La cupidité empêche les méchants de réussir pleinement tout ce qu’ils entreprennent : elle les transforme en une espèce humaine pourrie, misérable maligne.
Et tout ce qu’elle pense avoir réalisé par la calomnie, la triche, la violence, la haine, la trahison, le poison, l’esclavage, la destruction, le meurtre n’est qu’une illusion. Un semblant de richesse qui s’écroule un jour tel un château de cartes, une réalisation maudite de génération en génération :
Exister en tant qu’être humain, c’est apprendre de nouvelles choses, développer de nouvelles compétences. La vie est un cadeau et nous ajoutons une grande valeur à nos vies chaque fois que nous apprenons de nouvelles choses : Qu’il s’agisse d’éducation formelle, de développement professionnel ou personnel. On pense que plus vous développez votre apprentissage, plus votre valeur devient inestimable.
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Si vous entretenez une ou plusieurs des cupidités suivantes au cours de votre parcours de vie, votre non-existence et votre peur extrême de la mort pourraient être justifiées.
Avidité pour des activités sexuelles tordues : (Comme dans l’exploitation des âmes plus jeunes, voler la vie des enfants en ayant des rapports sexuels avec des enfants de cinq décennies plus jeunes que vous, participer et ou faire fortune des trafics sexuels, avoir des relations sexuelles avec les morts puis avec des personnes vivantes…)
Avidité pour l’argent sale : (Comme gagner sa vie grâce aux bordels, au trafic d’êtres humains, au trafic d’organes, aux réseaux de trafic sexuel, utiliser les sectes, le vaudou pour asservir, réussir et/ou tuer ou empêcher d’autres humains de réussir ou de devenir célèbres…)
Avidité pour la gloire : (Comme dans l’avidité narcissique, détruire ou tuer ceux ou celles que vous ne pouvez pas asservir ou corrompre, tuer, empoisonner, détruire les autres parce que vous ne supportez pas leur succès, ou leurs dons naturels…)
Avidité pour le pouvoir : (Comme dans l’asservissement, attirer malicieusement par des cadeaux pour détruire ou manipuler d’autres humains afin qu’ils puissent s’entre-tuer pour que vous régniez, participer ou faire fortune dans le trafic d’armes, les génocides, tuer autant que vous le pouvez, même des membres de sa famille pour maintenir un bien, la richesse le pouvoir, imposer l’autorité, le respect ou la peur)
Jésus tenant un agneau par Orchidée Wafo à 16 ans. ( Jeune Contributrice de The Bridge Magazine. )
Dessin d’observation en utilisant différents médiums artistiques. L’élément particulier de ses œuvres d’art à connotation religieuse est que les visages étaient toujours inachevés. Lorsqu’on lui a demandé pourquoi, elle a répondu :
« Défier le principe de l’identité d’une entité surnaturelle. Toute entité surnaturelle devrait rester ambiguë à l’œil humain. Cette entité surnaturelle ne pourrait ensuite être pleinement révélée à une personne qu’après son décès ». Orchidée Wafo
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Avidité pour l’intelligence : (Faire chanter ou tuer ceux ou celles qui menacent de trahir votre réussite académique frauduleuse/ réussite professionnelle mensongère, réussite des affaires viciée ou toute autre réussite à base de faux et usage de faux.
Avidité pour la jalousie extrême : ne pas être capable de supporter ou de reconnaître les dons ou aptitudes naturelles et/ou les travaux / ou succès des autres …)
Comprendre la mort comme le paradoxe de la vie nous permet de vivre avec une boussole morale que nous nous fixons pour nous-mêmes et notre conscience.
Pas parce que nous craignons l’existence d’une divinité, ou d’une force mystique, pas parce que nous craignons de faire face aux sanctions pénales de la justice, ni parce que nous redoutons le regard dénigrant ou le jugement d’autres personnes.
Vous devez vous poser les questions cruciales suivantes pour tester votre degré de malignité ou de cynisme :
Si jamais l’occasion vous était présentée, sans toutefois redouter d’être pris en flagrant délit, de tomber sous le coup de la loi, ou d’être stoppé (e) par un pouvoir divin, ou mystique quelconque, seriez-vous tenté( e ) ? Ou avez-vous déjà été impliqué de près ou de loin dans l’une ou plusieurs des avidités excessives mentionnées ci-dessus pour gagner de l’argent, afficher de l’opulence, empêcher une personne que vous jalousez de réussir ou de vivre ? Acquérir de l’admiration, du respect ou le pouvoir ?
Si la réponse est oui, alors il est URGENT que vous réexaminiez, votre propre “vie” car le taux de cynisme en vous dépasse le taux d’affabilité, de bonté en vous. Si ce n’est pas encore fait, la cupidité est en train de vous transformer en une espèce humaine pourrie, misérable et maligne mue par le mal , prête à détruire, à annihiler pour s’ affirmer ou faire fortune, briller, ou prouver un point ou empêcher les autres de percer, de réussir ou d’exister.
Sommes-nous fondamentalement incapables de clarifier notre sens du bien et du mal pour faire taire notre conscience ? Ou essayons-nous d’abord de continuer à vivre, en profitant de notre ruse, en supposant que nous sommes surhumains par rapport aux autres ? Si tel est le cas, la mort existe pour maîtriser la situation et nous rappeler que notre pouvoir apparent sur les autres est une pure illusion.
Exister en tant qu’être humain, c’est considérer votre famille et vos amis comme votre épine dorsale. Nos relations familiales et amicales sont notre colonne vertébrale : elles rendent nos vies dignes et épanouies. Cependant, soyez honnêtes, gentils et aimants mais pas naïfs. NE MENDIEZ NI l’amitié, ni l’amour ou la fraternité : soyez aussi courtois, gentils, respectueux , honnêtes et aussi justes qu’un être humain puisse l’être, mais ne détruisez pas votre santé ou votre vie pour des rabat-joie, des personnes manipulatrices et méchantes . Coupez les ponts et éloignez-vous des personnes négatives, altières, jalouses et méchantes. Peu importe à quel point vous êtes honnêtes, serviables, courtois, peu importe le bien que vous faites dans la vie, vous ne pouvez pas plaire à tout le monde.
Impliquez-vous avec des personnes qui vous respectent et qui comptent le plus pour vous.
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Qu’est-ce que cela signifie pour nous, êtres humains, d’exister ?
Il n’est pas nécessaire d’avoir peur de mourir, d’avoir peur de la mort, car malheureusement nous sommes destinés à mourir.
Cela fait partie du cycle de la vie : nous devons donc nous concentrer sur notre parcours de vie dans le but d’avoir pour objectif d’être des êtres humains dignes et de rester à l’écart de la cupidité, du cynisme, de l’envie et de tout ce qui nous empêche d’atteindre nos objectifs, de réaliser nos rêves tout en restant digne un tant soit peu.
Ce qui signifie pour nous, êtres humains, d’exister, c’est d’avoir un impact positif dans nos vies personnelles et, si nous le pouvons, dans la vie d’une personne, d’un individu ou de plusieurs personnes. Le mystère de l’existence humaine ne réside pas seulement dans le fait de rester en vie, mais dans la recherche d’une raison de vivre.
Comment un humain pourrait-il exister s’il subit tout simplement la vie plutôt que de trouver une raison de vivre ?
Choisissez de vivre pour ce qui donne un sens, une valeur ajoutée à votre vie, pour ce qui rend votre vie importante. Cela pourrait être, sans être naïf ou naïve : être affable, juste, courtois, faire de bonnes actions que quelqu’un soit là ou pas pour les reconnaître ou pour vous complimenter, vous récompenser, vous féliciter ou vous louer.
Soyez bon parce que votre éthique et votre morale sont bonnes en elles-mêmes et que vous vous sentez comblé en étant juste, pas parce que la récompense est un compliment, l’amitié, l’amour, de l’argent en retour ou un possible paradis dans l’au-delà.
Nous pouvons facilement perdre les objets précieux que nous possédons. Parfois, des circonstances hors de notre contrôle, tout comme nos propres choix nous font perdre des choses qui comptent énormément pour nous.
Bien que nos vies et nos priorités puissent différer, nous ne devons jamais perdre le contact avec les choses qui comptent vraiment pour nous. Ce sont des choses pour lesquelles nous devons nous battre. Celles que nous classons alors comme priorisées comme vitales, nous permettent de vivre une vie pleine et épanouie. Ceci nous permet de n’être ni distrait ni triste de la double implacabilité de la mort : son existence, et son irréversibilité.
Exister en tant qu’être humain, c’est avoir un niveau élevé de gestion du temps dans tout ce que vous faites. Essayez de maîtriser la gestion du temps qui vous convient le mieux. Ne vous précipitez pas : si c’est l’heure du petit-déjeuner, savourez-le comme si c’était votre dernier petit-déjeuner. S’il est temps de cuisiner, cuisinez pour votre famille et vous-même comme s’il s’agissait d’une émission télévisée de cuisine et savourez royalement votre repas. S’il s’agit d’un travail, faites votre travail comme si vous veniez de recevoir un e-mail d’augmentation de salaire de votre patron.
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Exister en tant qu’être humain, c’est avoir un but, un ou des objectifs dans la vie.
Demandez-vous pourquoi vous existez ? Le pourquoi guide chacune de vos actions et nourrit votre passion.
Il englobe votre profession, vos relations ou votre conception des choses pour tirer le meilleur parti de votre vie.
Vivre une vie épanouissante signifie avoir un ou des objectifs que nous voulons atteindre au cours de notre parcours de vie. Découvrez ce qui vous passionne et comment cette passion peut avoir un impact inouï sur une ou plusieurs personnes autour de vous ou à travers le monde et devenir votre héritage, votre patrimoine.
Soyez passionné (e) dans ce que vous faites, pas parce que vous mourez d’envie d’être loué ( e ) , d’être célèbre, pas parce que vous rêvez de gloire ou de gagner de l’argent, mais surtout parce que vous ne voulez pas avoir l’impression que votre voyage ,sur terre n’a aucun sens, que votre existence sur terre est futile.
Exister en tant qu’être humain, c’est avoir un niveau élevé de gestion du temps dans tout ce que vous faites.
Essayez de maîtriser la gestion du temps qui vous convient le mieux. Ne vous précipitez pas : si c’est l’heure du petit-déjeuner, savourez-le comme si c’était votre dernier petit-déjeuner. S’il est temps de cuisiner, cuisinez pour votre famille et vous-même comme s’il s’agissait d’une émission télévisée de cuisine et savourez royalement votre repas.
S’il s’agit d’un travail, faites votre travail comme si vous veniez de recevoir un e-mail d’augmentation de salaire de votre patron.
Vivez chaque seconde de votre vie à son paroxysme.
Exister en tant qu’être humain, c’est avoir un niveau élevé de gestion du temps dans tout ce que vous faites. Essayez de maîtriser la gestion du temps qui vous convient le mieux. Ne vous précipitez pas. S’il s’agit d’un travail, faites votre travail comme si vous veniez de recevoir un e-mail d’augmentation de salaire de votre patron.
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Exister en tant qu’être humain, c’est apprendre de nouvelles choses, développer de nouvelles compétences.
La vie est un cadeau et nous ajoutons une grande valeur à nos vies chaque fois que nous apprenons de nouvelles choses :Qu’il s’agisse d’éducation formelle, de développement professionnel ou personnel . On pense que plus vous développez votre apprentissage, plus votre valeur devient inestimable.
Exister en tant qu’être humain, c’est s’aimer soi-même, avoir une grande estime de soi, maintenir un état d’esprit positif et une paix intérieure.
Travaillez dur pour acquérir un minimum vital qui vous permette de vous aimer vous-même, sans arrogance ni narcissisme, et gardez un état d’esprit positif et une paix intérieure imperturbable. Protégez et gardez jalousement votre paix intérieure. Être capable de pondérer, d’équilibrer ses émotions et de gérer efficacement ses rapports avec les autres ainsi que les situations stressantes vous aidera à développer la confiance en vous.
Exister en tant qu’être humain, c’est privilégier tous les aspects de votre Santé.
Assurez-vous de donner la priorité à tous les aspects de votre santé. Avec une bonne santé, tout est possible : vous pouvez vivre pleinement votre vie. Il est crucial de prendre soin de votre corps, de votre esprit, et de votre âme. Prenez le contrôle de votre santé globale.
Mangez sainement, faites de l’exercice physique quotidiennement ou hebdomadairement, pour réduire le risque de maladies cardiovasculaires et le stress qui peuvent vous empêcher de profiter pleinement de la vie. Une alimentation saine, un sommeil réparateur et des pauses entre deux pour décompresser amélioreront votre santé physique et mentale.
Le cadeau de la vie et le retrait de la vie avec la mort comme métaphore du châtiment. Quels que soient la joie, le bonheur, la colère ou l’amertume, la vie et la mort restent des évènements ultimes qui lient inextricablement tous les humains.
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Exister en tant qu’être humain, c’est considérer votre famille et vos amis comme votre épine dorsale.
Nos relations familiales et amicales sont notre colonne vertébrale : elles rendent nos vies dignes et épanouies.
Cependant, soyez honnêtes, gentils et aimants mais pas naïfs. NE MENDIEZ NI l’amitié, ni l’amour ou la fraternité : soyez aussi courtois, gentils , respectueux , honnêtes et aussi justes qu’un être humain puisse l’être, mais ne détruisez pas votre santé ou votre vie pour des rabat-joie, des personnes manipulatrices et méchantes . Coupez les ponts et éloignez-vous des personnes négatives, altières, jalouses et méchantes. Peu importe à quel point vous êtes honnêtes, serviables, courtois, peu importe le bien que vous faites dans la vie, vous ne pouvez pas plaire à tout le monde.
Pas besoin de vous travestir en amitié, en amour ou en famille pour plaire ou gagner la sympathie ou de l’estime. Impliquez-vous avec des personnes qui vous respectent et qui comptent le plus pour vous.
Être entouré de personnes dans votre vie que vous pouvez appeler votre famille n’a pas de prix. Avoir des gens qui prennent soin de vous et qui seront toujours là pour vous est un cadeau inouï. La famille est irremplaçable. Consacrez du temps, de l’amour et de l’énergie à entretenir vos relations familiales – pas seulement pour le bien de votre famille, mais aussi pour vous-même, parce que cela donne un sens à votre vie.
Exister en tant qu’être humain, c’est être capable d’aimer, de poser de bonnes actions, car l’amour est considéré comme la force la plus puissante de l’univers.
Aimez les actions de gentillesse, de compassion, de serviabilité et de soins. Même si vous n’aimez pas votre vie en elle-même, en aimant des choses ou des personnes dans votre vie, vous pouvez toujours donner un sens et un but à votre vie. Apprendre à aimer sa place dans le monde aide à créer une attitude positive et saine envers la vie.
L’amour nous permet de comprendre les autres, d’avoir pitié, d’être joyeux et de pardonner. L’amour nous permet de répondre à nos besoins émotionnels, de nous sentir dignes et valables.
Puisque notre destin une fois que nous sommes nés, est de mourir un jour, nous conduire pendant la durée de notre parcours de vie avec compassion, pardon, tolérance, amour et paix nous rend dignes.
Qu’est-ce que Halloween ?
Qu’est-ce qu’Halloween ? Il existe de nombreuses versions des origines de « Halloween ». La plupart des chercheurs pensent que la veille de l’halloween a été à l’origine influencée par les fêtes de la moisson des morts d’Europe occidentale, qui puisent leurs racines dans le paganisme.
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Il existe de nombreuses versions des origines de « Halloween ».
La plupart des chercheurs pensent que la veille de l’ Halloween a été à l’origine influencée par les fêtes de la moisson des morts d’Europe occidentale, qui puisent leurs racines dans le paganisme.
Cependant, la théorie la plus courante est qu’Halloween était un festival qui aurait pour origine les druides : une culture celtique célébrée le 31 octobre de chaque année pour honorer les morts.
Les Celtes croyaient que toutes les âmes n’étaient pas amicales : ils laissaient des cadeaux et des friandises dans l’espoir d’apaiser les mauvaises âmes, afin qu’ils puissent espérer une bonne récolte pour l’année à venir.
La mort existe pour donner un sens, une valeur à son contraire : la vie. La première question quand on perd un être cher est la suivante : pourquoi ?
La mort existe pour que nous, les humains, puissions-nous interroger et réfléchir sur notre existence à travers notre voyage sur terre. Pour accepter la mort, l’humanité doit avoir la conviction que la mort est son destin, une partie naturelle de la vie et quelque chose qui échappe à son contrôle.
Si certaines personnes se remettent difficilement d’un deuil par rapport à d’autres cela signifie souvent que le décès est soudain, inattendu ou traumatisant. C’est également lorsque la personne décédée était jeune, et les proches survivants ressentent un sentiment d’injustice.
La loi naturelle ou la justice naturelle a sa propre manière de rétablir l’ordre : la mort entre en jeu comme équilibre ultime. Un rappel divin, universel ou naturel que nous sommes tous égaux en tant qu’êtres humains. Si nous appliquons l’éthique et la morale au progrès de l’humanité, nous tendrons vers la perfection d’une vie pure et épanouie…
Dans la continuité de la célébration du 10e Anniversaire de The Bridge Magazine et de la mise à jour de la publication de la série des livres The Bridge Books ;
Rachel Tcheungna annonce le total de la série de ses livres publiés à 23 livres éducatifs, en versions anglaise et française désormais disponibles pour une distribution mondiale.
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On pense qu’il existe une règle non écrite, une loi naturelle selon laquelle les personnes qui ont plus de bonté en elles que de méchanceté vivent pour toujours.
Même après la vie, le souvenir collectif et l’aura de tout le bien qu’ils ont fait aux gens au cours de leur vie maintiennent la flamme de leur belle âme vivante et en paix. Leur âme ne vagabonde pas.
On comprend l’envie pour l’humanité d’aller sur la lune ou de découvrir d’autres planètes pour certains, de multiplier les films de science-fiction ou encore de se rendre aux tirages de tarot pour lire l’avenir par la magie…
Mais la mort est là pour nous rappeler à quel point nous sommes tous vulnérables en tant qu’êtres humains.
Il semble que l’Univers Bénévole chuchote aux oreilles humaines que peut-être, nous en tant qu’humains, si nous guérissions la cupidité et le mal en nous, nous pourrions peut-être percer le secret de la vie !
Dans la continuité de la célébration du 10e Anniversaire de The Bridge Magazine et de la mise à jour de la publication de la série des livres The Bridge Books ;
Rachel Tcheungna annonce le total de la série de ses livres publiés à 23 livres éducatifs, en versions anglaise et française désormais disponibles pour une distribution mondiale.
Suivez les liens ci-dessous pour vous procurer un ou plusieurs livres de la série The Bridge books.
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2) Beauté, Santé et Bien être De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais
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3) Éducation De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
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4) Amour et relation De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
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5) Crimes réels et prévention De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
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6) Économie et investissement De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais
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7) Des Nouvelles ‘Soft & Hard’ De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais
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8) Contes et légendes aux dénouements atypiques. De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais
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9) High-Profile People_ Version Française De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais
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10) Arts et culture De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais
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11) Politique Mondiale De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais
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Chers tous, chères toutes,
Un immense merci pour tous vos commentaires que je reçois tous les jours concernant mes articles.
Juste pour vous dire : si je ne réponds pas à vos commentaires individuellement, c’est parce qu’il y a une avalanche de milliers de commentaires au quotidien dans mon tableau de bord. Je vous rassure que je vois toutes vos mises à jour et tous vos commentaires et nous, l’équipe de The Bridge Magazine 🗞️🌍 vous en sommes éternellement reconnaissants.
Bien cordialement,
L’Éditrice 🗞️🌍
Rachel Tcheungna 👱🏾♀️
Dear All,
A massive thank you for all your comments and words of encouragement that I receive on a daily basis regarding my articles.
Just to note: if I do not reply to your comments individually it is because there is an overload of comments in my dashboard but I do see all your feedback and comments and we, the team at The Bridge Magazine 🗞️🌍 are eternally grateful.
Kind Regards,
The Editor🗞️🌍
Rachel Tcheungna 👱🏾♀️